Depuis 2010, l’Université de Lausanne (UNIL) et la Cinémathèque suisse mènent conjointement diverses activités dans le cadre d’un partenariat qui demeure aujourd’hui particulièrement productif. Parmi les résultats notables de cette collaboration, deux thèses de doctorat ont été défendues en décembre et janvier: le travail d’Elodie Murtas consacré aux pratiques cinématographiques dans le contexte de l’hôpital psychiatrique de Cery, et celui de Chloé Hofmann, visant à poser les bases d’une poïétique de l’animation de sable à partir du cas du couple de cinéastes helvétiques Nag et Gisèle Ansorge. Le partenariat entre les deux institutions a également vu naître récemment un nouveau projet de thèse, porté par Gabrielle Duboux, doctorante au centre des Sciences historiques de la culture. Cette dernière souhaite analyser l’information médicale produite et développée par les firmes pharmaceutiques bâloises. Sa recherche se noue autour de la Communauté d’action pour le développement de l’information audiovisuelle (CADIA, 1970-1975) et l’arrivée des technologies audiovisuelles dans le quotidien de l’enseignement universitaire et de la formation continue. Ce projet met en relation différents fonds des départements Film et Non-Film de la Cinémathèque suisse avec ceux conservés par les archives pharmaceutiques bâloises.
Le site de la collaboration UNIL et Cinémathèque suisse
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